Текст: Reinhard Mey. Au Dessus Des Nuages.
Vent sud-ouest, piste vingt-trois...
Bruyants, ses moteurs s'eveillent.
Il s'elance devant moi,
Assourdissant mes oreilles,
Troublant l'asphalte mouille,
Trainant la pluie comme un voile
Qui retombe dechire
En lambeaux lorsqu'il s'envole.
Au-dessus des nuages,
La liberte semble etre infinie.
Toutes nos craintes et nos peines, dit-on,
En sont ensevelies sous l'horizon,
Et tout ce qui nous accable et confond
S'y allege et s'eclaircit.
Mes yeux distinguent longtemps
Le feu rouge au fuselage
Qui disparait lentement
Au fond du gris des nuages.
Je connais bien son chemin
Et la route qu'il sillonne,
Par le sifflement lointain,
Son grondement monotone.
Au-dessus des nuages,
La liberte semble etre infinie.
Toutes nos craintes et nos peines, dit-on,
En sont ensevelies sous l'horizon,
Et tout ce qui nous accable et confond
S'y allege et s'eclaircit.
Le calme vient s'installer,
Et la pluie fine persiste.
Quelqu'un prepare un cafe
Au fond du bureau de piste.
L'huile fait des arcs-en-ciel
Dans les flaques, et les nuages,
En passant se mirent en elles...
J'aurais bien fait ce voyage...
Au-dessus des nuages,
La liberte semble etre infinie.
Toutes nos craintes et nos peines, dit-on,
En sont ensevelies sous l'horizon,
Et tout ce qui nous accable et confond
S'y allege et s'eclaircit.
Au-dessus des nuages,
La liberte semble etre infinie.
Toutes nos craintes et nos peines, dit-on,
En sont ensevelies sous l'horizon,
Et tout ce qui nous accable et confond
S'y allege et s'eclaircit.
Au-dessus des nuages,
La liberte semble etre infinie.
Toutes nos craintes et nos peines, dit-on,
En sont ensevelies sous l'horizon,
Et tout ce qui nous accable et confond
S'y allege et s'eclaircit.
Bruyants, ses moteurs s'eveillent.
Il s'elance devant moi,
Assourdissant mes oreilles,
Troublant l'asphalte mouille,
Trainant la pluie comme un voile
Qui retombe dechire
En lambeaux lorsqu'il s'envole.
Au-dessus des nuages,
La liberte semble etre infinie.
Toutes nos craintes et nos peines, dit-on,
En sont ensevelies sous l'horizon,
Et tout ce qui nous accable et confond
S'y allege et s'eclaircit.
Mes yeux distinguent longtemps
Le feu rouge au fuselage
Qui disparait lentement
Au fond du gris des nuages.
Je connais bien son chemin
Et la route qu'il sillonne,
Par le sifflement lointain,
Son grondement monotone.
Au-dessus des nuages,
La liberte semble etre infinie.
Toutes nos craintes et nos peines, dit-on,
En sont ensevelies sous l'horizon,
Et tout ce qui nous accable et confond
S'y allege et s'eclaircit.
Le calme vient s'installer,
Et la pluie fine persiste.
Quelqu'un prepare un cafe
Au fond du bureau de piste.
L'huile fait des arcs-en-ciel
Dans les flaques, et les nuages,
En passant se mirent en elles...
J'aurais bien fait ce voyage...
Au-dessus des nuages,
La liberte semble etre infinie.
Toutes nos craintes et nos peines, dit-on,
En sont ensevelies sous l'horizon,
Et tout ce qui nous accable et confond
S'y allege et s'eclaircit.
Au-dessus des nuages,
La liberte semble etre infinie.
Toutes nos craintes et nos peines, dit-on,
En sont ensevelies sous l'horizon,
Et tout ce qui nous accable et confond
S'y allege et s'eclaircit.
Au-dessus des nuages,
La liberte semble etre infinie.
Toutes nos craintes et nos peines, dit-on,
En sont ensevelies sous l'horizon,
Et tout ce qui nous accable et confond
S'y allege et s'eclaircit.
Mey, Reinhard
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