Le dernier clope du condamne Etait l'Amsterdammer roule Vous pouvez me croire, moi j'ai verifie Sans filtre et peu tasse. Et toute sa derniere heure
Etude de la structure etrange Que tu as quand tu te moques Choix du mode de consultation Quand je frappe a ta porte Le plan provisoire d'installation
Du nord au sud Parcourir en accord Chaque ville, chaque port Sans cesse et sans effort Nu nord au sud Naviguer meme a tort Naviguer vers le nord Partager
Dis mademoiselle, dis-moi Comment tu t?appelles ? Moi, mon petit nom c?est Louis Au plafond de ma chambre J?ai peint des etoiles Le ciel, la piece Ca
Il y avait des debordements Tu sais, quand tu voulais rien Pas plus d?un sourire que d?un refrain Dis, est-ce que tu t?en souviens ? Il y avait nos deux
J?ai accepte par erreur Ton invitation J?ai du me gourer dans l?heure J?ai du me planter dans la saison Tu sais j?ai confondu Avec celle qui sourit
Dis est-ce que tu m?aimes encore Dis est-ce que tu dors Si oui est-ce que tu reves aussi Si non ben pourquoi tu dors Dis est-ce que tu m?aimes encore
Les jours ne sont pas eternels Disait un astre au soleil Le tour du monde ca je sais faire Depuis toujours, toujours Disait la lune a la terre Dont les
Quelqu?un ici A-t-il vu nos sourires ? Sont-ils a terre, en verre Sont-ils en cire ? Le monde devait de tous se souvenir Le monde Sevait aussi Savoir
M?allonger pres d?une baie comme on en fait plus Trois fois rien Aux quatre coins du monde Embrasser la voisine sans etre vu Trois fois rien Aux quatre
Le jour on s'aimera toujours La nuit on s'aimera aussi Le jour on s'aimera toujours La nuit on s'aimera aussi [Musique] Le jour on s'aimera toujours
Il y a les lampes que l?on allume, Le temps qui se consume ; Il y a dans mes yeux, qui brillent, Le vaste ocean de tes pupilles ; Il y a dans l?air, par
We?ll play at Shibuya Station Enjoy Tokyo?s emulation Here goes Time has comefor action Relish Tokyo?s emulation We?ll play at Shibuya Station Enjoy Tokyo
Sape comme un prince Au moment ideal Fils, fonce Je file vers le benefice Sans pouvoir ni province Le moral inegal Fils, fonce Je file vers le precipice
Tu penses quoi toi, tu dis rien En une heure de tes bras souffler la colere du monde Voyager etre la sauver chacune des secondes Et proteger du froid
Des ambitieux de ton espece Des moins que rien soucieux d?image et peu du reste Nous on reste a crier que ca nous blesse Que l?infiniment grand petit